Lexique
A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z |
Le site de l'assurance maladie a publié sur son site en date du 8 janvier 2013 les éléments suivants:
"L'iatrogénie médicamenteuse, c'est à dire l'ensemble des conséquences néfastes sur l'état de santé lié aux éffets secondaires des médicaments représente un coût humain et économique très élevé, responsable en France de 130000 hospitalisations et 10000 décès par an.La population des plus de 65 ans polypathologiques et des plus de 75 ans est la plus concernée.
Or que font les médicaments ? Ils sont censés vous soigner mais sans jamais vous guérir. De plus la plupart des nouveaux médicaments autorisés et promus depuis les années 1970 provoquent de tels effets secondaires que les maladies iatrogènes sont devenues la quatrième cause de mortalité aux états unis avec 128.000 morts par an.
Les laboratoires pharmaceutiques prétendent également être innovants, leurs recherches justifiant les prix élevés pratiqués sur les médicaments.
Or d’après les données de la « National Science Foundation » seuls 1.3% de leurs bénéfices seraient consacrés au développement de nouvelles molécules, tandis que 25% sont alloués à la promotion.
Le Journal of Law, Medecine and Ethics du centre d’éthique d’Edmond J. Safra de l’université d’Harvard, a publié un article sur la corruption pharmaceutique institutionnelle et le « mythe des médicaments efficaces et sûrs ».
« Une vaste série d’études et de procès a d’ores et déjà attesté des stratégies par lesquelles les compagnies pharmaceutiques cachent, ignorent ou déforment la réalité à propos des nouveaux médicaments, déforment la littérature médicale, et déforment la présentation des produits auprès des médecins ».
D’après la revue Prescrire, seuls 12% des médicaments autorisés en France de 1981 à 2001 présentaient un avantage thérapeutique. Mieux pour les années 2002 à 2011, seuls 8% offraient un intérêt alors que 15.6% étaient plus dangereux qu’autre chose. Ces quelques exemples démontrent à l’évidence que les compagnies pharmaceutiques ont perdus toute notion de finalité humaine et d’éthique pour ne s’intéresser qu’à leurs profits à court terme.
La recherche scientifique elle-même est devenue captive car instrumentalisée par les grandes entreprises pour obtenir des fonds.
Le lobbying industriel salit tout ce qu’il touche, les sciences, la politique, la protection de l’environnement, etc. et cette véritable gangrène confisque la démocratie.
La santé de la population n’est en réalité qu’un enjeu financier pour les industriels et les lobbyistes.
Les laboratoires pharmaceutiques et les différentes instances agissant dans la sphère de la santé, sont parvenus à nous faire croire que l’homme ne peut survivre sans leurs sacrosaints médicaments allopathiques.
A se demander comment l’espèce humaine a pu faire pour évoluer sans eux pendant des milliers d’années.
Comme toujours, au lieu de poser les vrais questions et de taxer les vrais responsables, c'est à dire Big Pharma,c'est la sécurité sociale donc la collectivité des citoyens qui endosse cette dette liée aux conséquences des éffets secondaires des médicaments.
Big pharma bénéficie à la fois d'une prise en charge par la collectivité des produits qu'elle fabrique et du remboursement des frais de santé des médicaments iatrogènes.