Carences alimentaires et intoxications environnementales
Auteur : Frédéric Chabrier. Paru dans Signes & Sens Magazine - Janv. 2014
Carences alimentaires intoxications environnementales et médicamenteuses et autres vaccins nécessitent désormais le recours à une complémentation alimentaire pour restaurer l’homéostasie.
Nous avons vu que cette crise humaine s’accompagne d’une crise écologique qui nous conduit à respirer et à ingérer quotidiennement des substances toxiques. Le stress de la vie moderne, quasiment permanent, renforce encore ce processus.
De ce fait, notre besoin vital en vitamines et en oligo-éléments est en constante augmentation, alors que la teneur en vitamines et en oligo-éléments de notre alimentation est en constante diminution.
La culture intensive qui utilise massivement l’agrochimie, est aux ordres des compagnies multinationales de l’industrie agro-alimentaire qui induit cueillette trop précoce, stockage en entrepôts réfrigérés et à atmosphère modifiée, avec en prime l'irradiation des produits conservés et maturation de fruits par chauffage au gaz.
L’élevage utilise massivement une alimentation industrielle enrichie en protéines presque systématiquement assorties de maïs et/ou de soja transgénique dont les conséquences irrémédiables ont été confirmées par les travaux de Gilles-Eric Séralini. Les méthodes d’élevage industrielles génèrent maladies et anxiété qui transforment parfois en véritables ZOMBIES (poulets, lapins, cochons etc.) nos plus proches compagnons qui sont abreuvés de médicaments de la naissance à l’abattoir. Des milliers de tonne de lisier et de fientes de volaille, véritables bouillons de culture de médicaments, de bactéries et de virus résistants sont disséminées sur nos terres arables, les contaminant pour de nombreuses années.
Les poissons quant à eux, n’échappent pas aux contaminations par les médicaments, PCB et autres méthyl, mercure, ce qui a amené l’Agence Nationale pour la Sécurité Alimentaire à conseiller une réduction drastique de leur consommation.
Toutes ces contaminations et leur absorbation quotidienne à travers l’eau et l’alimentation sont autant de facteurs directement responsables d’intoxication, mais aussi de carences graves en vitamines et de subcarences trop souvent méconnues, dont le dépistage n'est pratiquement jamais fait.
Ces carences sont rarement prises en compte. Pour faire face à la pollution et à une alimentation moderne déséquilibrée, une consommation journalière de vitamines naturelles et d’oligo-éléments est souhaitable.
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