Marcel Violet aimait à rappeler que c’étaient les effets extraordinaires des pluies d’orage sur la croissance spectaculaire des légumes et le comportement des animaux qui abandonnent leur abreuvoir pour boire de préférence l’eau qui ruisselle après la pluie et les éclairs, qui l’inspirèrent à rechercher les causes de cette dynamisation naturelle de l’eau d’orage.
Pour simuler ces rayonnements, il mit au point un appareil générateur d’ondes. (sans doute inspiré par le précédent de S. Bignand, mais l’histoire ne le dit pas). Ce fut lorsqu’il remplaça le diélectrique classique de son condensateur par de la cire d’abeilles, qu’il obtint sur la courbe sinusoïdale de son oscilloscope, une infinité d’ondes secondaires à fréquences extraordinairement élevées connues sous le nom de « grass-harmonics » ou harmoniques en forme d’herbes. Par l’intermédiaire d’électrodes, il concentra ce courant dans de l’eau pendant plusieurs heures et obtint les mêmes résultats accélérateurs de croissance des végétaux que l’eau d’orage. Il baptisa ces vibrations, ondes biologiques. La science en la personne de René Barthélémy, spécula sur la nature de ces rayonnements cosmiques aux fréquences de l’ordre de 1040, en reconnaissant qu’il n’était pas en son pouvoir de les mesurer objectivement. Violet étudia pendant plus de 30 ans les effets générateurs de vitalité de son eau sur un très large échantillonnage de personnes affectées de maladies diverses à commencer par lui-même, condamné par la médecine pour vice cardiaque incurable. Ses résultats sur les végétaux sont spectaculaires. Une des caractéristiques de cette dynamisation est qu’une partie du métal de l’électrode est transférée en très petite quantité à l’eau durant le procédé de dynamisation. Cependant cet oligo-élément n’est pas détectable en temps que métal durant la période où l’eau conserve sa dynamisation; il ne l’est qui si cette dynamisation perd ses effets ou que la dynamisation soit rompue, par exemple en élevant la température au-dessus de 70ºC. Le métal a donc été transmuté en énergie. Citons à nouveau Etienne Guillet : « Au cours de nos recherches, nous nous sommes aperçus qu’il n’était pas nécessaire qu’il y ait un métal dans la chaîne de l’ADN; en fait l’énergie vibratoire du métal suffit. De proche en proche, elle va être transférée jusqu’au site final d’action. Nous pouvons donc être en présence du métal ou simplement de son énergie vibratoire transférée à un support adéquat et obtenir le même résultat. C’est l’eau qui a ainsi transmis l’énergie vibratoire du métal spécifique à l’ADN qui va agir comme s’il contenait ce métal. » Ceci est une des grandes leçons que nous tirons de toutes ces recherches sur les eaux informées, c’est plus le message (énergie/vibration) qui importe, plus que le support (matière) lui-même. Oligo-éléments Ce transfert d’oligo-éléments à l’eau ouvre la porte au domaine passionnant des colloïdes et des traces métalliques dans l’eau, probablement le principe d’une branche importante d’une médecine du futur. L’introduction dans l’organisme d’un oligo-élément alors qu’il est déjà sous forme organique, ne pose aucun problème d’assimilation, tandis que l’introduction du même élément sous forme chimique pose le problème de la transformation de cet élément dans l’organisme. Cette méthode de dynamisation résout donc de façon magistrale le problème des carences métalliques. Gabriel Bertrand avait démontré il y a un siècle qu’un grand nombre d’éléments chimiques entraient dans la composition des organismes vivants et non seulement les 12 éléments qui constituent la quasi totalité de son poids. Même à des doses infimes, ces oligo-éléments jouent un rôle indispensable et sans eux la vie devient impossible. La biologie moderne nous enseigne que la transmission de l’information dans l’ADN est effectué par des terminaisons métalliques. Les métaux de transition Cu, Fe, Mn, Co, Ni, Au, Ag, Hg, se fixant sur les bases et les phosphates d’ADN commandent l’ouverture des chaînes, tandis que les alcalins et alcalino-terreux effectuent la fonction inverse. « Les 7 métaux traditionnels : or, argent, mercure, cuivre, fer, étain et plomb, avaient probablement des rapports préférentiels, mais au cours de l’évolution, par manque notamment d’argent, d’or et de mercure, l’ADN s’est adapté à des prix très élevés (en ce sens que beaucoup de cellules sont mortes) à fonctionner avec des métaux ayant des propriétés voisines, mais moins intenses et moins spécifiques. » Ceci serait en relation directe avec les carences et les dégénérescences créées par l’agriculture industrielle et l’utilisation abusive ¾ dans le temps ¾ des engrais chimiques (azote, phosphore, potassium et quelquefois calcium, soufre…), les racines de la plante puisant dans le sol les matières nécessaires à sa constitution, jusqu’à ce que celui-ci en soit totalement dépourvu. Cet appauvrissement des sols en oligo-éléments, essentiels à la vie, est sans doute responsable de cette substitution naturelle au cœur des cellules des métaux essentiels carencés, par des éléments voisins, l’argent par le zinc par exemple, ou quelquefois, par défaut, de métaux toxiques présents, en raison des pollutions, le cadmium par exemple. Ceci est prémisse à l’introduction d’information pathologique dans la chaîne d’ADN, qui mène inévitablement à la baisse des défenses immunitaires et est la porte ouverte aux maladies. La dynamisation par électrode est certainement une manière rapide et efficace de corriger ces carences en oligo-éléments essentiels et de rééquilibrer les mécanismes d’autodéfense. D’après Etienne Guillé, c’est généralement l’élément argent qui est le plus en manque. Vous trouverez en annexe (page 20) les principales propriétés associées aux oligo-éléments métalliques les plus connus, qui seront donc recommandés comme électrode de dynamisation spécifique.
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